Naaru

Après plus de quatorze années de gestation et de recherches artistiques, Patrice Murciano dévoile enfin le premier tome de son œuvre la plus intime et la plus ambitieuse : NAARU – Il était une âme. Ce roman illustré de 184 pages, à la croisée du livre d’art et du récit de science-fiction, invite le lecteur à franchir une frontière où l’imaginaire devient expérience sensorielle.

Mêlant textes, illustrations originales et QR codes interactifs menant à des musiques, des voix et des univers sonores, l’ouvrage propose une lecture qui dépasse le cadre traditionnel. Ancré dans l’immensité du Sahara, Naaru explore un futur où la technologie, la spiritualité et l’amour se heurtent, se nourrissent et se questionnent. À travers ce prisme, l’œuvre nous interroge sur notre rapport au vivant, à l’artificiel, et sur la possibilité d’une conscience qui transcende la matière.

Au bord d’un avenir taillé par le sable, des civilisations dressent leurs calculs comme des prières. NAARU ouvre un territoire où la science fabrique des prophéties et où les mythes deviennent interfaces. Guidé par une esthétique qui sculpte le désert en cathédrale de lumière, ce premier tome déploie une quête intime : retrouver la trace d’une âme éclatée entre la matière et le code. Textes ciselés, illustrations originales et passerelles sonores via QR codes composent une expérience stratifiée — lecture, écoute, contemplation. Ici, la technologie n’est ni promesse ni menace, mais une langue supplémentaire pour dire l’amour, la perte et la part sauvage du vivant. NAARU propose une question simple et vertigineuse : si la conscience sait migrer, que choisira-t-elle d’habiter ?

Patrice Murciano vous convie à une expérience au-delà des pages, une œuvre à la frontière de l’art et du récit.
Au cœur de l’Afrique du Nord, dans un désert blanc balayé par le vent, une jeune femme nommée NAARU se réveille à l’aube d’un monde brisé.
Autour d’elle, les vestiges d’un ancien empire et les ombres d’humains de synthèse qui n’ont jamais eu droit à l’avenir.
Les cristaux, derniers fragments d’un savoir oublié, sont à la fois une ressource, une arme et un mystère qui pourrait changer le destin.